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Formation en journalisme et en communication : l’IFIC offre des bourses à 5 jeunes nouveaux étudiants béninois

L’Institut de Formation à l’Information et à la Communication (IFIC) de France vient d’octroyer gracieusement des bourses de formation à cinq (05) jeunes étudiants béninois. Et ceci après un test organisé à l’intention de ces derniers. La cérémonie de remise des bourses aux heureux étudiants s’est déroulée le 26 juin dernier au Chant d’Oiseau à Cotonou en présence des parents et d’une délégation de l’IFIC conduite par son président et directeur.

Paptus Awessou, Francis Ahlé, Samuel Acakpo , Damien Esse et Hulda Merveille Kluse. Ce sont les 5 jeunes étudiants Béninois qui auront la chance de poursuivre leurs études dès la rentrée prochaine à l’Institut de Formation à l’Information et à la Communication (IFIC). Ils ont réussi à tirer leur épingle du jeu à l’issue du test. Les 5 bénéficient donc de 2000 euros de réduction sur leur scolarité à l’IFIC ainsi que de plusieurs autres facilités au plan académique.
Trois temps forts ont marqué la cérémonie de remise des bourses le 26 juin dernier au Chant d’Oiseau à Cotonou. En introduction, l’assistance a eu droit à la présentation de l’IFIC et de son fondateur, Marc-Alexis Roquejoffre. La directrice adjointe, quelques formateurs et anciens étudiants ont ensuite pris la parole pour présenter l’école.

‘’Je suis ressortie de l’IFIC avec beaucoup plus de compétences’’

Pour Fidèle Kossou ancienne étudiante de l’IFIC et codirigeante du développement de l’IFIC au Bénin, son passage dans cette prestigieuse école, l’une des meilleures en France, a été une très belle expérience. « J’ai pu découvrir un nouveau secteur. J’ai pu travailler avec des personnes que je rencontrais pour la première fois dans plusieurs villes ainsi que sur des projets très variés. L’une des particularités de l’IFIC, c’est la possibilité d’entrer dans un secteur auquel l’ont n’est pas familier et d’avoir une bonne connaissance dans ce domaine en une année. Il y a des notions que je ne connaissais pas quand on m’accueillait à l’IFIC, comme la gestion de projet de communication. Je suis ressortie avec beaucoup plus de compétences et de connaissances », a-t-elle témoigné. Elle a profité de l’occasion de son intervention depuis la France en visioconférence, pour lancer un appel à tous ceux qui souhaiteraient poursuivre leurs études à l’IFIC, notamment aux 5 nouveaux boursiers. « Je voudrais dire aux nouveaux étudiants qu’ils ne seront pas délaissés une fois en France. Ils auront la chance d’être accompagnés par l’école. Au-delà de cet accompagnement, leur vie professionnelle sera développée tout au long de l’année. Je leur demande d’être assidus et de rester positifs », a conseillé Fidèle Kossou. Á sa suite, Kevin Padonou avoue qu’une fois en France, il s’est facilement intégré à l’IFIC grâce à l’aide des responsables. « J’ai intégré l’IFIC il y a bientôt un an. Mon expérience a commencé à Cotonou où j’ai rencontré Marc-Alexis à Cotonou. Tout le processus de mon inscription et du voyage a été suivi par le directeur. Il me soutenait et me conseillait à chaque étape jusqu’à mon arrivée en France. Une fois sur place, l’accueil était également intéressant, parce que j’ai été intégré sans grandes difficultés malgré que les autres étudiants avaient déjà commencé les cours », a-t-il rappelé.

 

Un enseignement à 70% basé sur la pratique

Interrogé sur sa vision de la communication, le président-directeur de l’IFIC Marc-Alexis Roquejoffre répond en ces termes : « Tout est communication : dans une relation personnelle, une relation familiale, dans la vie associative, dans le monde politique, etc. Comme nous avons vu que les choses prenaient en France, et que des étudiants originaires d’Afrique venaient, nous nous sommes dit qu’il faut élargir de manière sérieuse cette volonté d’amener la communication, d’enseigner la communication ici au Bénin ». À la question de savoir ce qui distingue son école des autres, Marc-Alexis Roquejoffre reconnait qu’il y a de très grandes écoles en France en journalisme et en communication. Mais la particularité de l’IFIC se trouve dans ce qu’il appelle le ‘’70-30’’. C’est-à-dire, 30% de théorie et 70% de pratique. Il insiste également sur le fait qu’il est important pour les étudiants de se former dans un pays étranger pour ensuite rentrer mieux servir le Bénin. « L’objectif de l’IFIC n’est du tout pas de siphonner le Bénin de ses futures élites », a-t-il clarifié.
Par ailleurs, Marc-Alexis Roquejoffre a dans son intervention mis l’accent sur l’intelligence artificielle. À l’en croire, les formations sérieuses doivent inclure l’intelligence artificielle. L’IFIC a pris en compte cette dimension de l’intelligence artificielle et a la volonté d’évoluer avec.

L’IFIC, une bonne marque, une grande école au sens plein du thème

Le président de l’Agence Francophone de l’Intelligence Artificielle (AFRIA), le Béninois Eric Adja est partenaire de l’Institut de Formation à l’Information et à la Communication (IFIC) dont les formations sont diplomates et certifiées par l’Etat français. Il était d’ailleurs aux côtés de Marc-Alexis Roquejoffre lors de la remise de bourses aux nouveaux étudiants. Cet ancien enseignant à l’Université d’Abomey-Calavi (UAC) a témoigné que l’IFIC est une bonne marque, une grande école tant par le contenu que par sa réputation qui a été établie. « Je voudrais encourager les jeunes béninois à faire l’expérience de l’IFIC. L’IFIC est une école d’excellence », a fait savoir Eric Adja qui s’est réjoui d’avoir été associé à cette activité avec son équipe.

C.L.A.

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