Alors que l’échéance électorale de 2026 approche à grands pas, le paysage politique béninois se redessine à vive allure. Les partis peaufinent leurs stratégies, les tractations se construisent et les profils se dessinent. Au cœur des débats, un nom émerge avec insistance : Me Ferdinand Lawson porté par le Mouvement République et Démocratie, le Bloc Centriste et ses alliés.
Avec pour credo : Pragmatisme – Humanisme – Universalisme et une méthode centrée sur le débat d’idées, Me Ferdinand Lawson incarne une vision de la politique fondée sur la responsabilité, la concertation et la continuité. Homme de dossiers, fin connaisseur de la chose publique, Me Ferdinand Lawson s’inscrit dans la dynamique réformatrice initiée par le président Patrice Talon dont il reconnaît les avancées majeures dans plusieurs secteurs clés notamment la modernisation de l’administration publique, amélioration des infrastructures, redressement des finances publiques, promotion de la méritocratie. Cependant, conscient que toute œuvre humaine reste perfectible, Me Lawson ambitionne d’approfondir ces acquis, de corriger les manquements parfois relevés dans la mise en œuvre de certaines réformes, et surtout de rétablir un équilibre entre rigueur de gouvernance et justice sociale.
En effet, dans un contexte politique et économique mouvant, la stabilité est plus que jamais un besoin national. Avec une carrière marquée par des décennies au service du droit, de la diplomatie économique et de la bonne gouvernance, Me Ferdinand Lawson incarne l’expérience, la pondération et la vision. Ses proches saluent un leadership empreint de calme, d’écoute et de rigueur. Sa capacité à rassembler, son respect des institutions, son engagement pour l’État de droit et la paix sociale font de lui le profil rassurant dans une période de transition démocratique.
Un appel fort du peuple à la magistrature suprême
Après l’annonce de sa candidature à la candidature à la Présidentielle de 2026, Ferdinand Lawson fait montre d’un engagement actif. L’avocat multiplie des interventions publiques et opte pour une proximité grandissante avec les populations, son engagement sur les grandes questions sociales, économiques et institutionnelles séduisent tous les observateurs de la vie publique. Et d’ores et déjà, des voix au sein de la société civile et des cercles intellectuels appellent à sa candidature, le considérant comme « la seule alternative sérieuse pour une continuité intelligente », face à une opposition mal organisée et en perte de d’audience auprès du peuple.
Les défis d’une campagne d’envergure nationale
Pour Ferdinand Lawson, la victoire à la présidentielle de 2026 au Bénin est déjà en poche. L’homme ne doute point de l’issue du scrutin. Et pour s’assurer une victoire large et sans la moindre contestation sérieuse, il s’évertue à élargir son discours au-delà des sphères technocratiques et institutionnelles. Il privilégie le dialogue avec la jeunesse et s’engage de répondre aux attentes d’une classe moyenne en quête de perspectives. Me Lawson incarne un espoir nouveau, fondé non sur des promesses électoralistes, mais sur une vision claire et réaliste de l’avenir. Et déjà, il trace un chemin médian, entre technocratie élitiste et démagogie populaire. Une candidature de synthèse, à la fois enracinée dans les acquis du passé récent et résolument tournée vers les défis de demain.
Face à ce profil de présidentiable, l’on est en droit de se demander si Me Ferdinand Lawson n’est pas, en effet, la seule alternative crédible pour continuer l’œuvre du président Patrice Talon, tout en y ajoutant une touche d’humanisme, de proximité et de progrès partagé ?
